Stratégies pour
la santé mentale
au travail
Édition 2023
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Édition 2023
Le fardeau économique que représentent les problèmes de santé mentale est devenu une réalité préoccupante dans toutes les organisations et tous les secteurs d’activité du Canada. Le stress, l’épuisement professionnel et le présentéisme sont des facteurs importants qui ont une incidence sur la productivité des employé(e)s, et les ressources vers lesquelles se tourner pour obtenir de l’aide ou un traitement sont rares. Que peuvent faire les responsables en ressources humaines pour mettre en œuvre des programmes de santé mentale solides et efficaces en milieu de travail? Notre indispensable guide a pour but d’aider les professionnel(le)s en ressources humaines à comprendre les problèmes de santé mentale courants et les tendances chez les employé(e)s, à déterminer les besoins de leurs équipes en matière de bien-être et à mettre en œuvre des stratégies pour créer et maintenir un milieu de travail plus sain.
Les Canadien(ne)s adultes passent plus de temps au travail que nulle part ailleurs; il n’est donc pas surprenant que leur environnement de travail ait une incidence directe sur leur bien-être1. La satisfaction d’accomplir un travail gratifiant et de bénéficier d’une solide dynamique d’équipe peut être source de motivation et forger un sentiment d’appartenance, mais le stress et les réalités de la vie privée parviennent parfois à s’infiltrer. Les travailleur(-euse)s ne sont pas que des employé(e)s; ils et elles portent de nombreux chapeaux en dehors de leurs engagements. Il n’a jamais été aussi important de contribuer à réduire la souffrance des employé(e)s en favorisant un environnement professionnel inclusif et déstigmatisé, où chaque personne a le sentiment d’avoir accès à des soins compatissants pour alléger le fardeau de la dépression.
Ces derniers mois ont donné lieu à une sorte de pandémie secondaire, sous la forme d’un épuisement professionnel. Notre nouveau quotidien a créé des listes d’attente de plusieurs mois auprès des professionnel(le)s de la santé mentale, car un nombre croissant d’individus est confronté à une augmentation de leur niveau de stress et d’anxiété. Selon une étude réalisée par Environics Research en 20212 :
ont indiqué que la pandémie avait détérioré
leur état de santé général.
indiqué que la pandémie avait aggravé
leur santé mentale en particulier.
Chaque semaine,
en raison d’une maladie mentale.
Cela représente un fardeau économique de
On prévoit que ce chiffre atteindra la stupéfiante somme de
de dollars dans 20 ans.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la santé mentale est définie comme un état de bien-être dans lequel un individu reconnaît ses capacités, peut faire face aux stress normaux de la vie, travailler de manière productive et contribuer à sa communauté4. Les problèmes de santé mentale se manifestent sous de nombreuses formes, notamment la dépression et l’anxiété (qui constituent les deux troubles les plus diagnostiqués au Canada), la toxicomanie, les troubles de l’alimentation et, dans les cas les plus graves, le suicide5. Au cours d’une année donnée au Canada, indépendamment de l’âge, de l’éducation, du niveau de revenu et de la culture, une personne sur cinq connaîtra des problèmes de santé mentale. La façon dont les gens vivent ces problèmes et les réactions qui en découlent peuvent varier, selon les prédispositions génétiques et biologiques, les facteurs environnementaux et la personnalité.
Bien que personne ne soit à l’abri des problèmes de santé mentale, il existe toujours des préjugés et des comportements discriminatoires qui ont pour effet de décourager les gens d’obtenir de l’aide lorsqu’ils en ont besoin, voire de renoncer à tout traitement. Pour les professionnel(le)s des ressources humaines et les ambassadeur(-drice)s de la santé, il n’est pas surprenant que ce résultat soit loin d’être souhaitable pour le bien-être général. Ces enjeux ont tendance à être encore plus secrets dans les environnements professionnels, où l’on s’attend généralement à ce que les employé(e)s laissent leur bagage émotionnel à la maison. La mise en œuvre d’une approche de soutien à la santé mentale sur le lieu de travail peut avoir une influence considérable sur le bien-être des employé(e)s au bureau, de manière à laisser place à la sécurité, à l’inclusion et à la compréhension.
L’anxiété et la dépression sont en tête de liste des troubles de santé mentale les plus diagnostiqués au Canada, et une stratégie de santé mentale efficace doit tenir compte de ces troubles courants, mais débilitants. Toutefois, en milieu de travail, le stress et l’épuisement professionnel se démarquent comme des problèmes connexes, mais distincts vécus par les employé(e)s6.
Le stress et l’épuisement ne se limitent pas à des symptômes psychologiques; il y a aussi des signes physiques auxquels il faut prêter attention.
Le stress lié au travail survient lorsqu’il y a un déséquilibre négatif entre les exigences du lieu de travail, les capacités de l’employé(e), son accès aux ressources et ses besoins7. La pression perçue ou les attentes découlant de ces déclencheurs exercent une pression émotionnelle ou physique supplémentaire sur l’employé(e).
L’épuisement professionnel, quant à lui, survient lorsqu’un(e) employé(e) entre dans un état d’épuisement émotionnel, physique et mental causé par un stress excessif et prolongé8. Les personnes souffrant d’épuisement professionnel ont tendance à se sentir émotionnellement épuisées et incapables de remplir leurs fonctions professionnelles et celles relevant d’autres aspects de leur vie.
Le stress et l’épuisement professionnel sont plus comparables à des cousins éloignés qu’à des frères; ils sont liés, mais se manifestent différemment9. Une personne stressée a généralement tendance à réagir de manière excessive et à se montrer hypersensible, mais sur une période plus brève. En revanche, les personnes en situation d’épuisement professionnel ont tendance à se désengager, voire à devenir dépressives et détachées, ce qui entraîne une mauvaise gestion de leurs symptômes.
Au fur et à mesure que le stress au travail continue de vider les employé(e)s de leur énergie, les organisations subissent elles-mêmes une pression. Comme les taux d’invalidité de courte durée liés à la santé mentale ne cessent d’augmenter, les entreprises canadiennes dépensent des milliards en coûts salariaux, en dépenses de gestion des talents et en perte de productivité10. Les répercussions financières et humaines des problèmes de santé mentale sont importantes :
Le stress touche
a besoin d’un congé d’invalidité chaque année,
et les problèmes de santé mentale
en sont la principale cause.
Les gestionnaires auront beau créer une culture d’entreprise exceptionnelle et intégrer dans leurs projets d’équipe des valeurs dont chaque personne sera fière, la santé mentale des employé(e)s pourrait tout de même être compromise si elle est affectée par des circonstances professionnelles ou personnelles.
Parmi les facteurs de stress personnel susceptibles d’affecter l’environnement de travail, citons les disputes avec des proches, les soins apportés à un être cher malade ou un déménagement. Les effets de la pandémie ont également introduit de nouvelles préoccupations :
On parle de présentéisme lorsque des employé(e)s souffrent d’un problème de santé mentale, mais choisissent de se présenter ou de se connecter au travail au lieu de prendre un congé de maladie. Cette tendance est née d’une stigmatisation permanente en milieu de travail et du désir de protéger le caractère sacré de l’esprit d’équipe. La plupart des gens ignorent que cette mentalité de « bon joueur » qui consiste à se présenter au travail lorsqu’on est malade a des répercussions sur tous les aspects de l’organisation.
La stigmatisation est un acteur dominant. S’il n’y a pas de culture d’entreprise autour de la gestion et de la reconnaissance des problèmes de santé mentale, les employé(e)s sont moins susceptibles de recourir à un soutien adéquat lorsqu’ils ou elles en ont besoin. En outre, de nombreux(-euses) employé(e)s ne connaissent pas les symptômes de maladie mentale. Si ces individus ne savent pas que ce qu’ils vivent peut être traité avec succès, ils ne seront pas en mesure de recourir à un soutien adéquat. Ils négligeront leur douleur psychologique ou l’inconfort qu’ils ressentent, souvent avec la conviction qu’ils se sentiront mieux s’ils persévèrent. En l’absence de ces connaissances, ils se présentent au travail, pensant toujours être en mesure de faire leur part et contribuer à leur équipe. En réalité, ce n’est pas le cas; ils ne vont pas bien.
La maladie mentale est malheureusement toujours étroitement marquée par la stigmatisation. Près de 40 % des personnes souffrant de dépression ou d’anxiété renoncent à consulter un(e) professionnel(le) de la santé mentale par crainte d’être jugées ou incomprises13. Bien que le nombre de personnes ayant des problèmes de santé mentale continue d’augmenter, il existe toujours une stigmatisation entourant la thérapie qui empêche certaines d’entre elles de demander de l’aide au moment où elles en ont le plus besoin.
La santé mentale sur le lieu de travail est un sujet particulièrement délicat à aborder. Selon une étude de RBC, environ 75 % des employé(e)s canadien(ne)s hésiteraient à parler de leur maladie mentale à un(e) gestionnaire ou à un(e) collègue, ou refuseraient complètement de le faire14.
Les employé(e)s canadien(ne)s qui sont coincé(e)s entre leur désir d’obtenir de l’aide et la crainte d’être traité(e)s négativement risquent de faire le mauvais choix pour leur santé mentale.
Le fait de vouloir obtenir de l’aide dans un cadre privé ne signifie pas que ces 23 % d’individus souhaitent renoncer à tout traitement. Les entreprises peuvent contribuer à garantir que toutes les personnes dans le besoin reçoivent les soins qu’elles préfèrent en optant pour des services qui offrent des possibilités autonomes. Des programmes tels que la thérapie cognitivo-comportementale sur Internet (TCCi) peuvent contribuer à améliorer et à accroître le bien-être des employé(e)s tout en restant rentables pour les organisations :
Un bon programme de santé mentale est facilement accessible, utilisé par les employé(e)s et reconnaît les besoins en santé mentale de la main-d’œuvre. Ces programmes doivent être soutenus par un environnement de travail où les employé(e)s se sentent plus en sécurité et plus à l’aise, où le stress est gérable, où l’on parle librement de santé mentale et qui encourage les participant(e)s à bénéficier des services à leur disposition.
de santé mentale qui feront vraiment une différence pour vos employé(e)s et auront un effet positif sur votre organisation :
Recherchez un programme qui lutte contre la stigmatisation de la santé mentale en milieu de travail par des initiatives de sensibilisation proactives utilisant des outils tels que des questionnaires sur la santé mentale et des dépistages du stress, de la documentation relative aux conseils et astuces en matière de bien-être, des webinaires sur le bien-être ou même une bibliothèque de documentation éducative pour apprentissage autonome.
Les employé(e)s sont plus susceptibles de profiter de la thérapie si elle est facile d’accès et s’intègre dans leur emploi du temps. La thérapie virtuelle par vidéoconférence permet aux personnes de rencontrer un(e) psychothérapeute depuis leur domicile, ce qui leur évite de perdre du temps et d’avoir à se déplacer pour un rendez-vous en personne. En permettant aux participant(e)s au régime d’obtenir des soins selon leurs préférences (autonomes, dirigés par un(e) praticien(ne), ou un peu des deux), les organisations peuvent toucher un plus grand nombre d’employé(e)s et améliorer le taux d’utilisation du programme.
Le programme offrira idéalement l’accès à une équipe de soins multidisciplinaire. Les membres seront orienté(e)s vers le ou la professionnel(le) de la santé qui convient à leurs besoins parmi une liste de spécialistes en santé mentale, de psychologues, de psychothérapeutes, de médecins et d’infirmier(-ière)s praticien(ne)s, afin de répondre aux besoins uniques du plus grand nombre d’employé(e)s possible, de garantir l’adhésion au traitement et de résoudre les problèmes en temps voulu. Le traitement devrait également dépendre de l’étape à laquelle se trouvent les utilisateur(-trice)s dans leur parcours de santé mentale, contribuant ainsi à des taux de rémission plus élevés au fil du temps.
: Les solutions de santé mentale doivent s’appuyer sur une approche de traitement efficace et rapide pour résoudre les problèmes visés et aider à prévenir les rechutes, comme la thérapie cognitivo-comportementale. En outre, le maintien d’une relation à visée thérapeutique avec un(e) patient(e) permet d’obtenir de meilleurs résultats plus rapidement. Une solution efficace doit donc comprendre des options telles que des séances illimitées jusqu’à la rémission ou la possibilité de continuer avec le ou la même professionnel(le) de la santé si les séances sont limitées.
Les séances de suivi sont également un élément essentiel pour garantir des résultats positifs. Les employé(e)s doivent être suivi(e)s par le ou la même professionnel(le) de la santé, être en mesure de faire le suivi de leur pointage de santé mentale aux deux semaines à l’aide des évaluations GAD-7 ou PHQ-9, et discuter avec leur professionnel(le) de la santé de leurs expériences afin d’évaluer le développement de leur résilience et des mécanismes d’adaptation nécessaires à leur plein rétablissement.
Chez Dialogue, nous sommes en mesure de quantifier les résultats positifs. Nous avons beaucoup appris au cours des plus d’un million de consultations que nous avons réalisées jusqu’à présent.
Vos employé(e)s ont 40 % plus de chances de se rétablir plus rapidement
Vos employé(e)s ont
d’avoir besoin d’un congé d’invalidité plus court (moins de 6 semaines)17.
Respectueuse des budgets : les entreprises peuvent espérer un rendement du capital investi multiplié par 5 en évitant les congés d’invalidité grâce à une action préventive (en investissant environ 5 dollars par employé(e) par mois, les organisations peuvent économiser 31 $ par employé(e) par mois).
Favorise le bonheur :
le taux de satisfaction des membres. concernant nos programmes de santé mentale est de 96 %.
Efficace :
93 % des membres du programme ont connu un changement de vie positif.
Les gestionnaires doivent activement promouvoir les programmes de santé mentale et du bien-être des employé(e)s afin de créer une culture de travail qui valorise le bien-être. La réalité actuelle démontre un manque regrettable de sensibilisation des employé(e)s aux avantages sociaux qui leur sont accessibles :
Pour lutter contre la stigmatisation de la santé mentale, les organisations doivent devenir les principales défenseures du bien-être des employé(e)s, qu’il s’agisse de s’assurer que ces dernier(-ière)s prennent des pauses salutaires ou utilisent leurs vacances, d’encourager une rétroaction honnête ou de garder un œil sur le niveau de bien-être général grâce à un logiciel de rétroaction. Cela crée une culture où la santé mentale est valorisée et discutée ouvertement, et où les employé(e)s sont encouragé(e)s à recourir à un soutien adéquat aux problèmes de santé mentale.
Un autre moyen rapide de faire de la santé mentale une priorité consiste à promouvoir un mode de vie sain. Les pratiques saines qui peuvent contribuer au bien-être des employé(e)s et les encourager à se maintenir au meilleur de leur forme sont les suivantes :
Qu’il s’agisse de séances communes de méditation ou de planification d’un repas sain, il existe de nombreuses manières de favoriser les pauses au travail, afin d’aider les employé(e)s à se détendre, à refaire le plein d’énergie ou à se recentrer. Le bien-être au travail est un défi relevé par un nombre croissant d’acteurs importants. De grandes entreprises canadiennes ont créé des campagnes de sensibilisation à succès, comme Bell cause pour la cause, qui vise à réduire la stigmatisation associée à la maladie mentale en encourageant les gens à parler ouvertement de leurs difficultés. La mise en œuvre de telles initiatives est propice à une récompense à petite échelle qui se traduit par des changements organisationnels positifs et progressifs en matière de comportement et de perception.
Ce qui fait le succès de ces programmes, c’est l’engagement de la direction à être ouverte et à encourager les discussions sur la santé mentale. Si les employé(e)s se sentent encouragé(e)s à faire usage de leurs avantages en matière de santé mentale, ils et elles seront plus à même de reconnaître les symptômes alarmants et de demander de l’aide avant que le problème ne s’aggrave. Les organisations bénéficient d’une main-d’œuvre plus heureuse et peuvent réduire les coûts liés aux invalidités à long terme en adoptant une approche préventive du traitement des problèmes de santé mentale.
Votre fournisseur de services devrait vous doter de toutes les ressources nécessaires pour promouvoir votre programme d’avantages sociaux au sein de votre organisation. Les campagnes d’adhésion permettent de stimuler la sensibilisation et d’aborder les avantages des soins virtuels. Cela pourrait nécessiter des campagnes de courriels, des affiches et de multiples rappels, mais contribuera à stimuler l’adoption et le respect des plans de traitement. Les ambassadeur(-drice)s internes doivent régulièrement informer les employé(e)s de ces avantages, afin d’alléger le poids de la stigmatisation et d’aider les gestionnaires à guider les membres de leur équipe en cas de besoin.
Les plateformes intégrées permettent un accès à des soins complets à partir du même endroit. Une application commune favorise la sensibilisation et l’adoption de cette dernière par les employé(e)s, simplifiant l’accès aux services dont ils ou elles ont le plus besoin. Il devient beaucoup plus facile de recevoir des soins coordonnés et harmonisés à travers les différents services, ce qui aide les employé(e)s à se sentir soutenu(e)s, peu importe leurs besoins.
Le programme de santé mentale idéal fait appel à une approche par étapes permettant de déterminer le traitement le plus efficace en fonction de la gravité des symptômes. Ceci a pour but de résoudre le problème et d’améliorer la qualité de vie de l’employé(e) le plus rapidement possible, et ce, tout en réduisant le coût global du traitement. Pour que cette approche soit fructueuse à la fois pour votre organisation et pour vos employé(e)s, recherchez un ensemble véritablement intégré de thérapies autonomes et de thérapies dirigées par un(e) praticien(ne) capable de soutenir les membres de manière transparente au fil du temps, quelles que soient leurs préférences en matière de soins ou l’étape à laquelle ils et elles se trouvent dans leur parcours de santé mentale.
La plupart des organisations proposent des programmes d’aide aux employé(e)s (PAE), ce qui représente le strict minimum. Il est donc crucial que ces programmes soient faciles à utiliser, accessibles et qu’ils donnent satisfaction à leurs utilisateur(-trice)s. Un modèle virtuel favorise une plus forte adoption et une plus grande satisfaction en facilitant un accès rapide à tous les services nécessaires à partir d’une plateforme numérique centralisée et en offrant des conseils en face à face sans l’inconvénient des rendez-vous en personne. La nécessité de fournir aux employé(e)s une assistance rapide et fiable pour toute question susceptible d’empêcher leur performance professionnelle ou d’y nuire à l’avenir relève d’une évidence.
Comme nous l’avons vu précédemment, les problèmes de santé mentale peuvent également se traduire par des symptômes physiques, comme une mauvaise qualité de sommeil, des courbatures et des problèmes gastro-intestinaux. Ces symptômes sont plus faciles à reconnaître, et les gens sont plus susceptibles de consulter s’ils ne se sentent pas bien physiquement. Lorsque les symptômes psychologiques deviennent des symptômes physiques, il est important que les employé(e)s aient facilement accès à des soins primaires, qui permettent de traiter les problèmes médicaux non urgents. Un total de 70 % des consultations en personne pourrait être traité virtuellement; les questions de santé générale, les problèmes de dermatologie et les conseils généraux sur les blessures mineures sont généralement de bonnes occasions d’opter pour une consultation numérique. Cela permet aux employé(e)s d’accéder plus rapidement à des soins, qu’il soit question de gérer des symptômes physiques ou d’avoir accès à des traitements de santé mentale.
Chacun de ces éléments fait partie d’une structure efficace : l’objectif est de répondre au plus grand nombre possible de demandes liées à la santé par l’intermédiaire d’une ressource centralisée. Le parcours tout-en-un des membres permet de résoudre les problèmes de santé physique et mentale pour éviter la fragmentation des soins entre plusieurs fournisseurs et assure que l’employé(e) est sur la voie du rétablissement.
Comme le savent déjà la plupart des professionnel(le)s des ressources humaines, il est essentiel que les employé(e)s soient sensibilisé(e)s à l’existence du programme de télémédecine en santé mentale sur leur milieu de travail, qu’ils et elles aient accès à une assistance lors de leur inscription et qu’ils et elles soient formé(e)s à l’utilisation efficace et sécuritaire de ce programme avant sa mise en œuvre. Après tout, quel est l’intérêt d’un programme d’avantages sociaux si personne n’en bénéficie? Il est essentiel de définir clairement la manière dont les soins virtuels s’intégreront dans vos avantages sociaux actuels et de s’associer à un fournisseur de soins virtuels capable de vous accompagner dans cette démarche pour parvenir à un niveau d’utilisation satisfaisant de ce service.
Les programmes les plus efficaces en milieu de travail sont ceux qui sont conçus pour répondre de manière complète aux besoins des employé(e)s. En offrant aux employé(e)s un accès pratique aux soins virtuels, les problèmes de santé mentale peuvent être relevés de manière proactive au moyen d’outils de dépistage. Ils peuvent ensuite être traités rapidement au moyen d’une approche personnalisée, de ressources de bien-être, de la TCCi, et plus encore. Un suivi étroit auprès d’un(e) professionnel(le) de confiance est essentiel pour s’assurer que les employé(e)s obtiennent des résultats positifs, et la création d’une relation avec le ou la professionnel(le) de la santé est une étape essentielle à l’ouverture et à l’adhésion envers l’amélioration de soi. Pour y parvenir, les soins doivent être harmonisés et coordonnés tout au long du traitement. Tout se passe pour le mieux lorsque le soutien et les renseignements aux employé(e)s ne sont pas dissociés ou cloisonnés.
Plusieurs obstacles aux soins ou aux traitements (comme l’accès limité aux ressources de santé, le temps d’arrêt de travail nécessaire, le temps de déplacement et d’attente pour un rendez-vous, les sentiments de honte) sont facilement éliminés par une solution plus pratique et intégrée comme les soins virtuels. Lorsqu’un(e) employé(e) ne se sent pas bien, la possibilité de bénéficier d’une option transparente accessible depuis le confort de son domicile augmente la probabilité qu’il ou elle demande de l’aide et favorise l’efficacité de la prestation de soins. Cela permet de maintenir l’engagement du ou de la patient(e) et d’encourager son adhésion au traitement.
L’investissement des entreprises dans les initiatives de santé mentale pour les employé(e)s a indéniablement augmenté, mais c’est surtout par nécessité19. En comparaison avec le coût élevé de la thérapie traditionnelle, celui des soins virtuels est nettement plus abordable. Grâce à l’approche proactive d’une solution de soins complète qui aborde les problèmes de santé physique et mentale, il est possible de minimiser les coûts associés à la santé mentale, comme l’invalidité à court et à long terme.
Étant donné que les soins virtuels impliquent la transmission de données à caractère personnel sensibles, il est important de rassurer les membres sur le fait que leurs données sont en sécurité et sécurisées; il s’agit du minimum attendu de la part d’une plateforme virtuelle. La confidentialité est une préoccupation courante en matière de soins virtuels, mais elle s’estompe progressivement : seuls 49 % des Canadien(ne)s sont aujourd’hui préoccupé(e)s par la confidentialité, contre 58 % en 202020. Lorsqu’il s’agit de la sécurité des membres et de la protection des données, les fournisseurs de soins de santé virtuels doivent prendre toutes les mesures nécessaires pour préserver la confidentialité des renseignements sur les clients.
Les meilleurs fournisseurs de soins de santé virtuels satisfont toutes les exigences réglementaires dans les territoires où votre organisation exerce ses activités. Ils veillent par ailleurs à ce que tous les fournisseurs tiers gèrent et sauvegardent les données en toute sécurité. Ils doivent également avoir obtenu une certification de conformité SOC2, qui présente les mesures internes que les organisations prennent pour régir les services qu’elles fournissent. La conformité d’un fournisseur aux normes SOC2 assure que les renseignements concernant vos employé(e)s sont protégés contre les menaces et vulnérabilités accidentelles ou intentionnelles.
Si instaurer la confiance et encourager l’engagement des employé(e)s doit être votre priorité, les rapports quantitatifs et qualitatifs et les paramètres dont vous avez besoin pour démontrer les retombées commerciales du programme sont également importants. Tant que vous utilisez des données agrégées et anonymisées, il vous est possible d’obtenir une image claire du rendement de votre investissement dans un programme de santé mentale au travail sans compromettre la vie privée des employé(e)s.
L’équipe des ressources humaines de VIA Rail souhaitait investir dans un service qui permettrait de s’assurer que la santé et le bien-être des membres de son personnel, tant au bureau que dans les trains, soient à leur meilleur. Le programme de soins primaires de Dialogue a été introduit auprès de leurs employé(e)s à l’échelle nationale en 2020.
Taux de satisfaction et d’engagement élevés
heures d’absence au travail économisées par épisode et par employé(e)
Taux de satisfaction moyen général de 90 %
En tant qu’entreprise pharmaceutique, Otsuka Canada Pharmaceutique Inc. a cherché à offrir à ses employé(e)s des ressources proactives pour les aider à traiter les problèmes de santé mentale vécus, comme la gestion du stress. Le programme de santé mentale de Dialogue met à la disposition des employé(e)s les outils appropriés et les ressources pratiques nécessaires à la prise de contrôle active de leur santé mentale et de leur bien-être
Accès à des ressources pratiques et à des outils préventifs
Accès rapide aux soins de santé mentale grâce à notre plateforme intuitive
Excellente adéquation avec sa culture d’entreprise
Dotée d’un environnement de travail très rapide et animée d’un désir d’offrir continuellement une expérience de premier plan à leurs employé(e)s, PSP voulait leur assurer d’avoir un accès rapide et fiable à un soutien médical professionnel chaque fois que le besoin se fait sentir. PSP a mis en œuvre les services de soins primaires de Dialogue au sein de l’ensemble de ses employé(e)s.
Amélioration du taux d’anxiété
Amélioration du taux de dépression
Taux de satisfaction moyen général de 91 %
Le marché des soins virtuels a connu une croissance exponentielle au cours des dernières années, la santé mentale étant un combat permanent pour de nombreuses organisations. Celles-ci sont aujourd’hui confrontées à un nombre impressionnant d’options lorsqu’il s’agit de choisir un fournisseur. Il est important de souligner que tous les services de soins virtuels ne sont pas égaux; choisir un fournisseur qui donne la priorité aux résultats positifs pour les employé(e)s est l’une des meilleures décisions que vous pouvez prendre pour vos équipes et votre organisation. Chaque personne est différente; cependant, un programme de santé mentale réellement efficace doit soutenir les besoins uniques de chaque membre.
1 Commission de la santé mentale du Canada. 2021. La santé mentale en milieu de travail.
2 Environics Research, 2021. La position des Canadiens et des Canadiennes en matière de santé et de soins virtuels.
3 CAMH. Workplace Mental Health – A review and recommandations..
4 Organisation mondiale de la santé. Mars 2018. Santé mentale : renforcer notre action.
5 ACSM. Juillet 2021. Faits saillants sur la santé mentale et la maladie mentale.
6 Koutsimani, P., Montgomery, A., et Georganta, K. mars 2019. The Relationship Between Burnout, Depression, and Anxiety: A Systematic Review and Meta-Analysis.
7 Société pour les troubles de l’humeur au Canada. Mai 2021. La santé mentale au travail.
8 CAMH. 2021. Career Burnout.
9 Ibid.
10 Mercer. Avril 2018. How much are you losing to absenteeism?
11 Benefits Canada. Octobre 2021. Sondage de 2021 de Benefits Canada au sujet des soins de santé.
12 Benefits Canada. Novembre 2021. What are Canadian employees’ top concerns about returning to workplace?
13 CAMH. 2021. Lutte contre la stigmatisation.
14 RBC. Septembre 2019. Les travailleurs canadiens reconnaissent de plus en plus la maladie mentale comme un handicap, mais la stigmatisation demeure : RBC Assurances.
15 Statistique Canada. 2018. Besoins en soins de santé mentale.
16 Gouvernement du Canada. Avril 2018. La santé mentale au travail.
17 Dialogue. Décembre 2021. Ce que Dialogue a appris au sujet des pratiques exemplaires en matière de soins virtuels au terme d’un million de consultations.
18 Environics Research. 2021. La position des Canadiens et des Canadiennes en matière de santé et de soins virtuels.
19 Harvard Business Review. Octobre 2021. It’s a New Era for Mental Health at Work.
20 Environics Research. 2021. La position des Canadiens et des Canadiennes en matière de santé et de soins virtuels.
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